Main menu

Pages

Les phyto-œstrogènes


Les informations les plus captivantes et les découvertes scientifiques en matière  d’alimentation concernent le recours aux phyto-œstrogènes. La majeure partie de la recherche à laquelle je fais référence examine à quel point les phyto-œstrogènes peuvent êtres efficaces dans le contrôle de la concentration des œstrogènes.


Comme on le sait, l’œstrogène est responsable de la totalité du processus, puisqu’il jouee rôle le plus important dans l’apparition de la cellulite. J’affirme cela car les œstrogènes libérés par les fibroblastes agissent sur la collagénose, laquelle, ensuite, fabrique le collagène, ce qui permet aux cellules adipeuses d’être plus visibles au niveau de l’épiderme.Les cordes du collagène qui libèrent les cellules adipeuses s’accroissent et activent la lorsque de nouvelles cellules adipeuses sont produites, la quantité d’œstrogènes augmente,ce qui entraîne la maturation de ces nouvelles cellules, de pré-adipocytes à adipocytes (3).Avec l’augmentation de la production d’œstrogènes, davantage de fibroblastes sont stimulés et ainsi recommence l’ensemble du processus.

Il est fort probable qu’on puisse aussi maîtriser la formation de la cellulite en contrôlant la concentration d’œstrogènes. On peut soutenir cette hypothèse grâce aux faits suivants :
on savait que les Asiatiques consommaient régulièrement des phyto-œstrogènes (12) et qu’ils étaient les moins disposés à avoir de la cellulite (13). A cause de leur forte consommation de phyto-œstrogènes (50-300 milligrammes), ces Asiatiques furent au cœur de plusieurs études consacrées à l’influence certaine des phyto-œstrogènes sur la santé. Les Asiatiques qui consomment 100 grammes de graines de sojacon servent une protection d’isoflavones sous la forme de daidzéine et de génistéine.

Les scientifiques ont affirmé que, par rapport aux pays occidentaux, il y avait moins de cas de carcinome des poumons, de l’utérus, de l’endomètre, de la prostate et de l’intestin chez les Asiatiques. Ceux-ci sont également moins touchés par les maladies cardiovasculaires(12). Les auteurs de ces études ont, en outre, démontré que si les Asiatiques optaient pour une alimentation occidentale (beaucoup de gras et de protéines, peu de fibres et de soja), le risque de contracter une maladie augmentait.

Commentaires